Je porte un masque dehors en public alors que je ne suis pas malade.
Je pense que celà va me protéger et je prétends que c’est scientifiquement prouvable. J’invite les personnes interessées à faire l’étude correspondante et à la publier dans Nature.
La communication gouvernementale veut que l’on réserve le port de masques chirurgicaux aux malades, et annonce que celà limite la transmission aux autres personnes.
Il s’agit d’un comportement altruiste. En contre-partie de la gène occasionée par le port du masque, le malade n’en reçoit aucune contre-partie pour sa guérision, juste le sentiment (positif) de protéger la collectivité à laquelle il se sent appartenir.
Cependant, pour le non-malade, ce port du masque est bienfaiteur, et curieusement surtout dans la mesure où le gouvernement recommande au non malade de ne pas porter de masque chirurgical, renforçant sa communication par forces explications sur le diamêtre des pores très supérieur dans le cas des masques chirurgicaux à la taille des virus mêmes enrobés.
Celà peut être prouvé scientifiquement.
Il suffit de faire une étude statistique sérieuse sur un nombre signicatif d’individus.
Le mécanisme est le suivant :
Si vous portez un masque chirurgical, les personnes qui vous entourent en public, dans les transports en commun … vont penser que vous êtes malade.
D’elles-même elles vont s’éloigner de vous.
Ce simple effet diminue les chances que vous soyez contaminé.
En particulier comme les malades connus sont probablement assignés à quarantaine chez eux, il y a peu de chance que vous rencontrier un malade qui se sache malade et que vous soyez contaminé par lui qu’il porte un masque ou pas.
Vous avez beaucoup plus de chance d’être contaminé par un malade qui s’ignore, d’autant plus d’ailleurs qu’il ne portera pas de masque.
Donc votre port du masque en l’incitant à s’éloigner de lui-même vous protège certainement.
Les certificats souvenirs fabriqués sous forme de répliques de certificats originaux présentent un grand intérêt. Les ksiv stylisés comme les…