Il n’est pas nécessaire d’être un grand spécialiste pour voir que le raccordement d’une ligne à grande vitesse doit se faire avec un tracé compatible de la grande vitesse, ce qui n’est pas le cas ici pour des raisons évidentes d’économie, qui ont du être soigneusement évaluées compte tenu de la présence du canal qui ne permet pas un tracé de raccordement à grand rayon de courbure sans nécessiter des coûts importants.
L’accident était donc inévitable, aujourd’hui ou plus tard, c’est tout l’intérêt des procédures d’essai de mettre en évidence les risques pris et peu à peu oubliés par une légende d’absence d’accident sur plusieurs décennnies, comme pour Concorde.
Voilà c'est fait : Le Président de la République a nommé M. François Bayrou Premier ministre, et l’a chargé de…