Double meurtre au Pont-Neuf à Paris !

Paris c’est mortel, à cause du terrorisme que la guerre en Ukraine après le covid, avait fait oublier.

En effet celà a incité à doter les forces de l’ordre d’outils plus adaptés que l’arme de service, ou les LBD tout justes bons à éborgner une à 2 douzaines de manifestants dans les affrontements principalement avec la police moins bien formée et encadrée que la gendarmerie et employée en maintien de l’ordre en lieu et place de CRS spécifiquement recrutés et entrainés.
Depuis 2015 on peut voir également des éléments de troupes en tenue de combat et avec leur arme automatique silloner les rues de la capitale française.
Mais au moins n’ont-il pas à interagir avec la population, et ne sont-ils là que pour être visibles et la rassurer, servir au besoin de cible comme au Carré du Louvre, ou intervenir face à de vrais terroristes.

Il n’en est pas de même pour la police où de nombreux recrutements récents ont été effectués et où la période de formation a été réduite et où l’encadrement est différent de la gendarmerie.

Ces fonctionnaires civils sont syndiqués et manifestent bruyamment pour obtenir une impunité totale dans l’application de la peine de mort qui a été retirée au pouvoir judiciaire et aux jurés populaires.

Une Polo-Volkswagen était garée mercredi sur le quai des Orfèvres, en contresens avec ses feux de détresse allumés.
En ce haut lieu de présence de la police parisienne les trois occupants du véhicule pouvaient jusqu’à ce jour, estimer leur sécurité physique bien assurée, et manifestaient sans doute ainsi un arrêt temporaire non dissimulé.

Il ne semble pas qu’une force de police particulière eut été à leur recherche, ni ait eu connaissance au préalable de leur identité.

Cependant une équipe de 5 agents à pied s’est approché du véhicule qui a semble-t-il démarré.

Une policière était à hauteur du conducteur et aurait tenté de s’emparer du volant.

Alors que ces 5 agents en service disposaient sans doute de leur arme de service il a été déclaré initialement que seul l’un d’eux était armé, celui qui a fait usage de son arme.

Agé de 24 ans il a ouvert le feu avec son fusil d’assaut HKG36, une arme de guerre mise en dotation auprès des forces de police pour faire face aux terroristes.

Le meurtrier d’origine réunionnaise a tiré une dizaine de cartouches avec son arme automatique dont “cinq ou six impacts ont atteint les individus”.

Le conducteur et le passager, deux frères noirs de 25 et 31 ans atteints à travers le pare-brise sont morts au volant ou peu après, malgré les secours appelés auprès du passager étendu auprès du véhicule qui s’était arrêté sur le pont-neuf où il avait quitté la chaussée pour le trottoir dans une échappée devenue incontrôlée mettant en danger d’éventuels passants ou touristes en ce lieu tourstique à cette heure tardive.

Le tir qui a également atteint au bras droit le passager arrière de 42 ans, n’a visiblement pas réussi à arrêter le véhicule, pas de façon sûre et pas de manière à protéger de quelque façon que ce soit les agents venus au contact.

Aucun policier, qui ont tous réussi tireur inclu, à éviter le véhicule, n’a été blessé.

Il convient de s’interroger sur les conditions d’emploi de telles armes, leur port éventuel, les règles d’engagement et la formation technique des opérateurs.

Est-il normal d’arroser un pare-brise pour arrêter un véhicule ?
ou le tir n’est-il manifestement pas maîtrisé (faute de formation/entraînement) ?

Si effectivement le refus d’obtempérer est passible d’une peine de mort appliquée à la discrétion d’un policier quelconque sur sa propre décision, il est impératif de promulguer rapidement une présomption de légitime défense comme le réclame depuis longtemps les syndicats corporatistes et un récent candidat à la présidentielle.

Il conviendrait même dans cet esprit de la rendre irréfragable.

Et pourtant ce n’est qu’au bout de 3 jours que la mise en examen a été prononcée.

Il a été rappelé adroitement que les 2 victimes étaient connues des services de police, et que le tireur avait empéché récemment une personne de mettre fin à ces jours en plongeant dans la Seine.

Les identités ne semblent pas avoir été révélées.

En ce jour de réélection d’Emmanuel Macron, où la candidate du rassemblement national malgré une bonne pénétration parmi les forces de l’ordre, a été écartée par un corps électoral non persuadée du grand remplacement ces victimes collatérales de la lutte anti-terroriste s’ajoutent à l’égale sanction mortelle appliquée à un conducteur de fourgonette pour refus d’obtempérer récemment à Bobigny.

https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/seine-saint-denis-un-automobiliste-tue-par-un-policier-lors-d-un-controle_2170609.html

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